Fumer est une bien mauvaise habitude dont j’ai moi-même été dépendant autrefois. Oui, car aujourd’hui, c’est bien fini et je ne m’en porte pas plus mal. Même si le chemin fut long et difficile, je suis, finalement, parvenu à m’en détacher. Alors pourquoi pas vous ? Pourquoi ne pas vous couper de cette bien mauvaise addiction ? Pourquoi ne pas retrouver le sens du goût et celui de l’odorat et connaître des sensations fortes ? Car ce fut, pour moi, une grande surprise que de retrouver des perceptions plus aiguisées et, ainsi, redécouvrir mon environnement. Ce fut, également, l’occasion de gagner du bien-être en étant moins essoufflé et apte à faire de plus grands efforts. Et bien sûr, d’améliorer mon espérance de vie, ce qui n’est pas accessoire.
Sortir de la dépendance
Si vous essayez, comme je l’ai fait, d’arrêter de fumer brutalement, alors vous risquez de vous rendre assez vite compte de la difficulté de la chose. Supprimer d’un coup tout apport de nicotine provoque une sensation de manque assez perturbant. J’ai même été saisi de tremblements. Ce qui n’est vraiment pas agréable. La solution que j’ai trouvée pour contourner le problème : acquérir une cigarette électronique. Ce qui m’a permis, sans m’encrasser les poumons, d’avoir ma dose quotidienne de nicotine et, au fil du temps, de diminuer graduellement cet apport. Résultat : je me suis, aujourd’hui, complètement débarrassé de toute dépendance physique.
Et pour un résultat durable
Arrêter de fumer est une opération qui s’organise. Même débarrassé de la dépendance physique, celle produite par une substance toxique, on ne peut toujours connaître une certaine dépendance. Vous savez, la petite clope que vous fumez lors de la pose de dix heures, avec un café. Tout un rituel s’est développé et cela prend beaucoup de temps pour le casser. Mais pourquoi, après tout, s’en débarrasser ? Aujourd’hui, que je peux me passer de nicotine, je continue à vapoter en toute quiétude avec un e-liquide dépourvu de cette substance.
